Des Soins Particuliers

-Oui et toi?

Elle vit deux gens

-Quelque chose ne va pas? dit elle au deux.

Elle le regarda, elle n'était pas comme tout ses nobles à se paravenait avec leur titre.

- Je tiens également à mon âme...

Irina suivit Roman et l'aida à préparer le cheval avec des gestes précis, efficaces, mais non dénués d'affection pour la pauvre bête. Ce n'était pas parce que sa maîtresse était une écrevelée qu'elle devait se venger sur son cheval.

- Bon sang, j'ai horreur qu'on prenne à ce point les gens de haut. Les petites pestes, siffla-t-elle entre ses dents.

Irina subissait le mépris des autres depuis assez longtemps pour y être habituée, mais dans ces cas là, le sort des autres lui importait plus que le sien. L'attitude de la duchesse de pacotille envers Roman l'avait heurté avec autant de force que si c'était dirrigé contre elle.

- Roman, je t'en prie, accepte mes excuses pour ce qu'elle vient de te dire... Son avis ne représente pas la majorité.

Puis aux deux nobles de pacotille.

- Merci bien, mais le petit personnel n'est pas autorisé à parler avec les maîtres de séan. Je vous prierais donc de ne pas vous abaisser à nous adresser la parole

Hj: So n'est pas au courant de sa noblesse et elle est pas comme tout les autres.

Elle n'avait rien fait, mais rien fait du tout.
Elle ne comprenait pas trop l'histoire.

- D'abord, j'aprécierais énormément que tu me tutoie, sans cela, je vais croire que j'abuse de ma position, lui lança-t-elle avec une pointe d'humour. Par contre, permet-moi de te retourner le compliment, quand tu es lancé, tu n'es pas mal dans ton genre non plus! Domage qu'elle soit trop imbue d'elle même pour entendre ce que tu as à lui dire.

Irina commençait sérieusement à se demander si l'éducation était la seule fautive de ce genre de réaction ou si la consanguinité commençait à se faire trop forte dans la haute noblesse, provoquant cette faiblesse maladive.

La femme blonde les regardait comme si elle s'éveillait dans un cauchemard qu'elle ne comprenait pas. Cela eut le don de l'énerver.

Léxia raconta tout à son amie puis prit son cheval et patrit rejoindre la tasrine avec qui elle devait monter cette après-midi là. Dommage que celle-ci ai si mal commencé...

HJ : faudra refaire un topic, ça me fait trop rire ces trucs-là ! xD

La jeune femme qui defendais le peuple.

-Mais Lexia ils t'ons rien fait

-Mais moi non plus je ne leur ai rien fait ! Ce n'est pas de ma faute si toi tu peux t'occuper de ton cheval parce que tu es déjà fiancée alors que moi je ne peux pas parce que mes parernts me chercehnt un parti !

Le fait que son amie ne la défende lui fit tout de même un peu mal, sachant qu'elle savait très bien quel était le problème.

Elle la regarda, elle ne savait plus quoi dire.

-Oui peut étre

Elle n'était pas bien en ce moment entre attentas et autres.

-Pardonne moi

Elle la regarda.

Irina finit par revenir vers Léxia. Décidémment, elle ne pouvait pas entendre autant d'âneries et rester muette.

- Permettez-moi de vous demander, mais, vos parents sont-ils ici? Je ne vois personne ici prêt à rapporter ce que vous considérez comme un écart de conduite! Et ne pensez-vous pas que vous auriez plus de chance de tomber sur un homme interressant si vous faites preuve d'indépendance? A moins que la fortune de votre "parti" vous interesse plus que sa personnalité...

Elle la regarda.

-Si j'avais le choix je serai mariée depuis longtemps. Mais je n'ai pas le choix. Et puisque vous me considérez comme une noble insupportable et hautaine, pourquoi continuez-vous à me parler ? Vous feriez mieux de m'ignorer !

La vie n'avait pas toujours été rose pour Léxia, et si aujourd'hui elle avait décidé de remonter sur un cheval c'était uniquement parce que la tsarine le lui avait demandé. Mais elle avait fait une chute un jour alors qu'elle était au grand galop et avait failli perdre la vie. Elle avait tout de même perdu son bébé et son mari. Voilà pourquoi elle n'avait plus approché un cheval depuis, et pourquoi la réaction de Sofia l'avait blessée, alors qu'elle connaissait très bien l'histoire.

Lorelei arriva à cet instant pour préparer sa jument. Elle aperçut Léxia et lui sourit, elle était ravie de se promener avec elle. Elle vit aussi Irina, une femme qu'elle adorait pour son indépendance et son intelligence plus que vive. Mais elle sentait une certaine tension et essaya, en bonne diplomate, de l'apaiser:

-Bonjour, Mesdames! Léxia, je suis contente de voir que vous êtes déjà là! Irina, tu nous accompagneras? Je crois que nous allons nous rendre en ville!