Balladons-nous

La jeune Cécilia avait démandé à cet homme de l'aider à retrouver sa famille.
Elle porta une robe blanche, elle sentait la fleur de Thiaré, elle avait ses cheveux longs et blond mais aussi ondulées sans aucune attache.
Le vent souffla sur son visage, il mettait quelques une des ses méches.
Elle vit l'homme.

-Bonjour

-Oui c'est moi

Elle lui dédia un grand sourire.

-J'aurais besoin de vous mais je ne sais pas si vous étez capable de le faire.

Elle le regarda avec ses yeux bleux, dés qu'on les voyaient on se noyer dedans.

-Est ce que vous pouvez retrouvez ma famille partenelle, je sais que vous étiez pas généalogiste mais j'ai appris que vous avez écris une histoire similiare à celle de mon pére et je me suis dit que vous connaissez la famille de mon pére.

-D'accord

Elle le regarda

-L'histoire qui est traité est un homme qui s'appelle Mikel Angélos, il a épousé une femme qui se nomme Jane-Mary celle-ci était noble. Ils ont vécu en Italie mais ils ont fait faillite et ils ont vécus chez la soeur de son épouse. Mikel est pendu pour un crime qu'il as commis.

Elle regarda le paysage, le soleil fit un beau effet sur ses cheveux.

-Et cette histoire est comme la mienne.

-...

Elle le regarda.

-Mais de quel censure? Mon pére était écrivain? Pourquoi voulez t-on l'arrecter?

Elle allait enfin connaitre la vérité sur sa famille.

-Vous le conaissez?

-Merci je connais enfin pourquoi on a pendu mon pére

Elle le regarda, oui elle avait des larmes elle trouvait que c'était injuste de tuer son pére juste parce que les Rois n'aimaient pas ceux qu'il écrivait.
Des larmes coulaient sur son visage, elle n'avait pas envie de pleurer mais elle en avait besoin.

-Je suis désolé...

Elle aimait pas pleuré devant les gens, elle fit un faux mouvement et on vit une cicatrise sur son épaule droite.

Elle ne pouvait répondre à cela, elle serra les mains.
Elle ne parviens plus avoir d'oxygénes, un comble pour un médecin mais la douleur était trop forte mentalement pour qu'on l'aide. Elle blanchit...

Elle s'asseya, la choc était trop fort pour qu'elle en parle.

Demyan se promenait dans ce que l'on appelait Le champ d'Aphrodite. Et ce nom lui allait sublimement bien, surtout en été où la nature semblait étinceler. Mais en hiver, avec la neige et un rayon de soleil, ce devait être magique aussi. Il s'approcha de Cécilia et de l'homme avec lequel elle discutait:

-Bonjour, Cécilia! Belle journée n'est-ce pas! Bonjour, Monsieur! Demyan Jörk, ravi de vous rencontrer!

Elle répondit à Karol.

-C'est ma tante qui m'as battut, elle me detestait.

Puis elle vit arriver son ami le duc.

-Bonjour Demyan, oui trés belle.

Elle lui fit un petit sourire, elle avait oublié qu'on voiyait sa cicatrice.

Elle le regarda avec ses beaux yeux bleux.

-Les seuls moments que j'ai adoré c'était avec ma mére, mon pére avant qu'on habite chez ma tante aprés ce fut quand je suis instruite grace au Docteur Mathieu Iwanan.

Elle le regarda.

-Oui

Elle sourit à Demyan

Irina arriva à toute allure vers les trois personnes en pleine discussion.

Elle avait cherché la docteur partout dans les jardins après qu'on lui ai dit qu'elle y avait un rendez-vous. Irina ne pensa même pas aux dégats qu'elle pouvait faire à chevaucher avec Kuolema aussi vite dans les jardins, elle s'excuserait plus tard. Elle anticipa assez tôt pour ne pas risque de blesser Kuolema en s'arrêtant à leur hauteur.

- Messieurs, navrée de vous ravir la compagnie de Cécilia, mais on a besoin d'elle en ville. La femme du boulanger est entrain d'accoucher et cela semble très mal parti... On a besoin de vous, Cécilia, c'est une question de vie ou de mort.

Elle tendit la main à la jeune femme pour la faire monter devant elle. La route ne serait pas longue, et elle n'aurait pas de difficulté à supporter leurs deux poids. Après tout, si elle pouvait porter un homme en armure complète, deux femmes menues ne seraient pas un souci.

-D'accord

Elle monta sur la monture d'Irina.


Hj: Eu le topic avec la boulangére on le fait ou pas?